Avant de nous pencher sur notre rendement en 2014, nous tenons à souligner une étape importante pour le programme VDMD. En novembre 2015, l’association minière de la Finlande (FinnMin) a annoncé qu’elle avait adopté le programme VDMD et qu’elle travaillait à sa mise en oeu vre pour ses membres. C’est la première fois que l’initiative est adoptée par une association minière étrangère. L’AMC s’est engagée à partager son programme VDMD avec les autres pays qui recherchent des outils pour améliorer le rendement social et environnemental de leur industrie minière, entre autres par un engagement auprès de la société civile et par la transparence et la responsabilisation.
L’année dernière a été une autre année intéressante pour l’initiative Vers le développement minier durable. L’initiative VDMD a célébré ses dix ans d’existence. Nous nous appuyons donc maintenant sur une décennie de résultats qui illustrent la capacité de l’initiative à améliorer le rendement d’exploitations minières partout au pays et dans le reste du monde. En 2014, les membres de l’AMC ont continué d’obtenir des résultats élevés dans le cadre de l’initiative VDMD, et ce, dans tous les secteurs. Voici quelques faits saillants :
- Les résultats ont particulièrement augmenté pour le plus récent protocole de l’initiative VDMD, soit celui de la gestion de la conservation de la biodiversité. En 2014, 67% des établissements ont obtenu une cote de niveau A ou plus élevée en matière de rapports sur la conservation de la biodiversité, comparativement à 55 % en 2013.
- Pour la première fois, 90 % des établissements ont obtenu une cote de niveau A minimum pour le protocole des relations avec les Autochtones et les collectivités, la majorité d’entre eux ayant atteint une cote de niveau AAA.
- En général, des progrès ont été faits au chapitre du protocole de gestion de la consommation d’énergie et des émissions de GES. En 2014, une proportion de 75% des installations a rapporté une cote de niveau A ou supérieure pour l’implantation d’un système complet de gestion de l’énergie et des émissions de GES, une hausse de 15% par rapport à l’année précédente pour cet indicateur.
